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lundi 27 octobre 2014

Valentino Rossi heureux comme un poisson dans l'eau se rapproche de la place de dauphin

Valentino Rossi heureux comme un poisson dans l'eau se rapproche de la place de dauphin:

Il n'en menait pourtant pas large au moment de regagner ses pénates à la veille du Grand Prix de Malaisie. Durant toutes les séances d'essais, qualifications y comprises, il était le premier à reconnaître qu'il n'était pas dans le rythme et que la course s'annonçait mal. On ne sait si Valentino Rossi a quitté nuitamment son lit pour s'en aller dire deux mots à sa moto, mais le fait est que le dimanche, elle était transformée. Au bilan, une seconde place derrière Marquez, certes, mais devant son équipier Lorenzo qui n'a jamais été aussi prêt de perdre son leadership chez Yamaha.
Car lorsque le coup de sifflet final retentira à Valence le 9 novembre prochain, il se pourrait bien que le « Doctor » soit le vice-champion du monde. En attendant, l'homme de Tavullia savoure : « cela faisait un moment que je n'étais pas monté sur le podium en Malaisie, depuis 2010 je crois. Ce qui était dommage car j'aime ce tracé de Sepang. Cette place de second est importante pour le championnat. J'ai deux fois plus de podiums que l'an dernier, le double de victoires et je suis plus que jamais second au championnat avec 12 points d'avance sur Jorge. Mais il reste encore une course, à Valence, où j'ai toujours souffert. »
On le voit, Vale est toujours affamé. Et son équipe sait lui mitonner une bonne M1 pour la course : « on a beaucoup souffert depuis vendredi pour trouver la bonne mise au point. Jamais je n'ai été aussi fort durant les essais et j'ai été enfin en mesure de piloter à 100%. On a continué à travailler sur la moto le matin, on a modifié les réglages et particulièrement la répartition des masses pour les pneus. On a changé de direction et on a fait une moto qui aime ses pneus. C'est la clé de notre réussite. »
« On a encore franchi un cap et on a fait une bonne course. J'ai pris un bon départ et je me suis senti capable de mener. Puis j'ai vu que Marquez n'était pas incroyablement rapide et je me suis dit que je pouvais gagner. Lorsqu'il m'a doublé j'ai d'abord pu rester avec lui. Mais j'ai dû ralentir mon rythme en fin de parcours alors que Marc a pu maintenir le sien. Cette deuxième place est tout de même une bonne affaire. »

Stay tuned !

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